25 octobre 2005

NICE 7es Rencontres Cinema et Video Regard Independant

NICE 7es Rencontres Cinéma et Vidéo Regard Indépendantrencontres cinema et videoHier soir avait lieu à la Cinémathèque de Nice, la soirée d'ouverture des 7es Rencontres Cinéma et Vidéo de Nice, organisées par l'association Regard Indépendant qui, par la même occasion, fêtait ses dix années d’existence. Après le traditionnel discours d'ouverture les rencontres ont débutées par la projection d'une heure et demi de courts métrages tournés par des auteurs de la région. Le film « Madame Peloponese » d'Anne Sophie Salles, dorénavant Parisienne pour son projet de premier long-métrage, fut de loin le meilleur film proposé. Drôle et émouvante description des relations d’une étudiante et de la vieille dame dont elle s'occupe. Suivait le court-métrage de Samy Lorentz, « Le petit chevalier », primé en Avril dernier lors du Festival du court-métrage de l’association Héliotrope. Et une surprise : « Holiday » d’Aurélia Barbet, film de vacance très intime tourné en vidéo. Souvenirs très particuliers d'un voyage à New-York en 2004.
Les rencontres se déplacent dès ce soir et jusqu’à samedi au Théâtre Trimages de Nice, 17, avenue Alsace-Lorraine, parallèle à l’avenue Thiers, sous la gare SNCF.
Vous pourrez voir ce soir les films d’animation de l’atelier de la Cinémathèque de Nice réalisés par les enfants de différentes classe d’age, « Lo Gran Festival Partida 1 » de Tilo Lagalla un pantaïl, une suite de séquences en niçois traduites en anglais et un programme de vidéos expérimentales proposées par Philippe Frey et Frédéric Nakache qui a réalisé l’affiche des rencontres.
Retenez dès à présent votre soirée du jeudi 27 octobre pour découvrir le documentaire de Michèle Bondi, « Il Faut Dire les Choses », avec dans le rôle-titre, Éric de Montgolfier qui analyse les principaux évènements qui ont marqué ses six années au TGI de Nice, ses démêlés avec les réseaux maçonniques, la situation de la justice niçoise, la guerre des clans au palais, ses relations avec les politiciens locaux et nous livre en sus quelques réflexions sur ce qu’il appelle « les carences de notre démocratie ».