Idée Week-end : Sainte-Agnès, près de Nice - le circuit du patrimoine
Dominant Menton, tout le littoral de la Côte d'Azur et de la Riviera, à la limite orientale du Comté de Nice, le petit village de Sainte Agnès, dans les Alpes-Maritimes (France), mérite largement une visite dominicale. A 670 m d'altitude, il est le village littoral de plus haut d'Europe, un véritable paradis des yeux. La légende raconte qu'Haroum, l'un des chefs des invasions sarrazines de la Provence, au IXe siècle, amoureux fou d'Anna, une belle et jeune chrétienne, se serait converti au christinianisme pour la séduire et l'épouser, puisqu'elle refusait d'entrer dans son harem. A la mort d'Haroun, Anna prit le voile et se retira dans une grotte où elle fonda une chapelle dédiée à sa sainte patronne. Le village se serait développé autour de cette pieuse fondation. On ne sera donc pas surpris de voir que les ruelles du villages portent les noms des protagonistes de ce beau récit... C'est en 1185 que le village est cité pour la première fois par les documents : le castrum de Sancta Agneta appartient aux très puissants comtes de Vintimille, comme l'ensemble des localités des alentours. Le château, dont les ruines sont encore bien visibles sur la falaise qui surplombe le village, a été édifié à cette époque. D'une importance stratégique capitale, il passe aux mains des comtes de Savoie après 1388, avant d'être détruit sur ordre de Louis XIV. Cette position et ce rôle stratégique seront confimés, entre 1931 et 1938, par la construction du Fort de Sainte Agnès, le plus méridional et l'un des plus imposants ouvrages de la Ligne Maginot, censée défendre la fontière orientale de la France.
Actualités et informations Nice Riviera Côte d'Azur Principauté de Monaco et Provence Cannes Antibes Grasse Menton
12 novembre 2005
10 novembre 2005
« Le mythe Einstein » « Einstein et Picasso » au CUM de NICE
Einstein et Picasso au CUM de NICE
En clôture du cycle, coordonné par le professeur Pierre Coullet, des cinq conférences publiques de l’Année de la physique à Nice, l’université de Nice Sophia-Antipolis et la ville de Nice ont invité ce soir au CUM Jean-Marc Levy-Leblond, professeur émérite à l’université de Nice-Sophia-Antipolis, physicien et épistémologue, qui évoquera « Le mythe Einstein » à 18 h 45 et Remo Ruffini Professeur et titulaire de la Chaire de Physique Théorique à l’Université de Rome qui parlera « d’Einstein et Picasso » à 19 h 30.
Entrée libre.
En clôture du cycle, coordonné par le professeur Pierre Coullet, des cinq conférences publiques de l’Année de la physique à Nice, l’université de Nice Sophia-Antipolis et la ville de Nice ont invité ce soir au CUM Jean-Marc Levy-Leblond, professeur émérite à l’université de Nice-Sophia-Antipolis, physicien et épistémologue, qui évoquera « Le mythe Einstein » à 18 h 45 et Remo Ruffini Professeur et titulaire de la Chaire de Physique Théorique à l’Université de Rome qui parlera « d’Einstein et Picasso » à 19 h 30.
Entrée libre.
SALON DU PALAIS GOURMAND à Cagnes sur Mer
SALON GOURMAND Cagnes près de Nice
Hippodrome de la Côte d’Azur / Cagnes-Sur-Mer près de Nice, les 10,11,12,13 et 14 Novembre 2005, ces cinq journées ne seront pas de trop pour vous faire déguster gratuitement puis, si cela vous plait, acheter et emporter toutes sortes de spécialités régionales, telles que foies gras, fromages, cassoulet, charcuteries, chocolats, pains, produits de la mer, et nous en oublions forcément tant le Tour de France Gastronomique proposé est riche dans ce 14ème Salon du Palais Gourmand.
Amateurs de vins et de saveurs de notre terroir, plus de 260 Exposants, Producteurs et Propriétaires-Récoltants, venus de toutes les régions de France, vous attendent réparti dans deux halls couverts (3500m2 d’exposition), de 10 heures à 20 heures sans interruption, du 10 au 14 Novembre 2005, dans le cadre prestigieux de l’Hippodrome Côte d’Azur Cagnes-Sur-Mer.
Hippodrome de la Côte d’Azur / Cagnes-Sur-Mer près de Nice, les 10,11,12,13 et 14 Novembre 2005, ces cinq journées ne seront pas de trop pour vous faire déguster gratuitement puis, si cela vous plait, acheter et emporter toutes sortes de spécialités régionales, telles que foies gras, fromages, cassoulet, charcuteries, chocolats, pains, produits de la mer, et nous en oublions forcément tant le Tour de France Gastronomique proposé est riche dans ce 14ème Salon du Palais Gourmand.
Amateurs de vins et de saveurs de notre terroir, plus de 260 Exposants, Producteurs et Propriétaires-Récoltants, venus de toutes les régions de France, vous attendent réparti dans deux halls couverts (3500m2 d’exposition), de 10 heures à 20 heures sans interruption, du 10 au 14 Novembre 2005, dans le cadre prestigieux de l’Hippodrome Côte d’Azur Cagnes-Sur-Mer.
09 novembre 2005
Comté de Nice : deux Monuments aux Morts “pacifistes”
Comté de Nice : deux Monuments aux Morts “pacifistes”
Le 11 novembre, jour de fête nationale, commémore la fin des sanglants combats de la Première Guerre Mondiale, "ce jour béni où toutes les églises de France et de Navarre carillonnèrent en même temps pour annoncer l'Armistice"... Jour de fête, peut-être, mais surtout jour de recueillement pour honorer la mémoire des millions d'hommes qui laissèrent leur vie sur les champs de bataille. Journée de deuil, pourrait-on dire, pour des centaines de milliers de familles décapitées par quatre années d'horreur, jour de deuil pourrait-on ajouter, pour la France rurale en général et le Comté de Nice en particulier, qui ne se relèveront jamais de cette monstrueuse hémorragie.
A partir de 1920, la lente dissolution de la douleur génère le début de la glorification du sacrifice, de l'héroïsation des disparus. Encouragées par un gouvernement (loi du 25 octobre 1919) qui tenait trop à se ménager les rescapés du massacre, toutes les communes de France se mirent à élever des monuments à leurs héros. En quinze ans, le pays va se couvrir de stèles, de statues, d'oratoires, presque toujours issues d'une même inspiration, d'un même concept : l'amour sacré de la patrie pour lequel ces héros avaient donné leur vie ! Oubliée, l'horreur des tranchées : le fringant poilu, bien propre et triomphant lévera désormais bien haut son fusil devant tous les hôtels de ville de l'hexagone, ou presque...
Le 11 novembre, jour de fête nationale, commémore la fin des sanglants combats de la Première Guerre Mondiale, "ce jour béni où toutes les églises de France et de Navarre carillonnèrent en même temps pour annoncer l'Armistice"... Jour de fête, peut-être, mais surtout jour de recueillement pour honorer la mémoire des millions d'hommes qui laissèrent leur vie sur les champs de bataille. Journée de deuil, pourrait-on dire, pour des centaines de milliers de familles décapitées par quatre années d'horreur, jour de deuil pourrait-on ajouter, pour la France rurale en général et le Comté de Nice en particulier, qui ne se relèveront jamais de cette monstrueuse hémorragie.
A partir de 1920, la lente dissolution de la douleur génère le début de la glorification du sacrifice, de l'héroïsation des disparus. Encouragées par un gouvernement (loi du 25 octobre 1919) qui tenait trop à se ménager les rescapés du massacre, toutes les communes de France se mirent à élever des monuments à leurs héros. En quinze ans, le pays va se couvrir de stèles, de statues, d'oratoires, presque toujours issues d'une même inspiration, d'un même concept : l'amour sacré de la patrie pour lequel ces héros avaient donné leur vie ! Oubliée, l'horreur des tranchées : le fringant poilu, bien propre et triomphant lévera désormais bien haut son fusil devant tous les hôtels de ville de l'hexagone, ou presque...
Pierre GIOFFREDO à Nice au MAMAC
Nice MAMAC : Gioffredo, la ChorographieNice CONFÉRENCE au Mamac. Pierre GIOFFREDO est né à Nice le 16 août 1629, il y meurt le 11 novembre 1692.
Fils de commerçant, il fait de brillantes études chez les Jésuites dont l’enseignement, très en avance sur l’époque, lui permet de devenir à vingt ans directeur des écoles primaires de la Ville de Nice. Ce poste qu’il occupe jusqu’en 1660 ne l’empêche pas d’être ordonné prêtre et d’éditer à Turin en 1657, le « Nicaea Civitas sacris monumentis », la ville de Nice illustrée par ses monuments sacrés, dont les frais d'impression furent payés par la municipalité niçoise.
Son travail, remarqué par le duc de Savoie Charles-Emmanuel II, lui ouvrit les portes de la Maison ducale de Savoie dont il devint l’historiographe en 1663.
Les postes et les honneurs vont se succéder, bibliothécaire ducal (1674) et surtout « précepteur, aumônier et conseiller » du prince héritier, le futur Victor-Amédée II, il participa aussi aux réunions de l’« Accademia degl’Inculti » , une société dite des « incultes » par coquetterie ou humilité, dont les membres font partie de l'élite culturelle du royaume de Piémont.
Il s'attela alors à un autre ouvrage, la « Storia delle Alpi Marittime et corografia » la Chorographie et l’Histoire des Alpes maritimes, un travail monumental, qui relate les événements de la région depuis l'Antiquité jusqu'à la moitié du XVIIe siècle, œuvre à laquelle il consacrera toute sa vie, amassant, commentant, critiquant une quantité d'archives dont beaucoup sont malheureusement aujourd’hui perdues. L’ouvrage est d'importance, sept volumes, quatre mille cent soixante page !
La Chorographie fixe et décrit géographiquement le triangle Fréjus Savone Briançon, cadre dans lequel se déroule l’Histoire.
Couverts d'honneurs, Gioffredo revient à Nice en 1685 où il reçoit la charge de l'Abbaye de Saint-Pons.
L’Histoire rattrapera l’abbé en 1691. Lorsque Nice sera assiégée par les Français du maréchal de Catinat, l'assemblée des chefs de familles réunit à Sainte-Réparate, lui demandera d'aller négocier, accompagné de Mgr Provana, la reddition de Nice aux troupes du roi de France Louis XIV pour éviter le bombardement de la ville.
Ce fut le dernier service que Pierre Gioffredo rendit à sa patrie niçoise.
« Gioffredo, la Chorographie »
Ce sera le thème de la conférence que donne ce soir :
Hervé Barelli, conseiller pour le patrimoine niçois et conservateur de la bibliothèque de Cessole.
mercredi 9 novembre 2005
18 heures dans l’auditorium du Mamac
Entrée libre.
Fils de commerçant, il fait de brillantes études chez les Jésuites dont l’enseignement, très en avance sur l’époque, lui permet de devenir à vingt ans directeur des écoles primaires de la Ville de Nice. Ce poste qu’il occupe jusqu’en 1660 ne l’empêche pas d’être ordonné prêtre et d’éditer à Turin en 1657, le « Nicaea Civitas sacris monumentis », la ville de Nice illustrée par ses monuments sacrés, dont les frais d'impression furent payés par la municipalité niçoise.
Son travail, remarqué par le duc de Savoie Charles-Emmanuel II, lui ouvrit les portes de la Maison ducale de Savoie dont il devint l’historiographe en 1663.
Les postes et les honneurs vont se succéder, bibliothécaire ducal (1674) et surtout « précepteur, aumônier et conseiller » du prince héritier, le futur Victor-Amédée II, il participa aussi aux réunions de l’« Accademia degl’Inculti » , une société dite des « incultes » par coquetterie ou humilité, dont les membres font partie de l'élite culturelle du royaume de Piémont.
Il s'attela alors à un autre ouvrage, la « Storia delle Alpi Marittime et corografia » la Chorographie et l’Histoire des Alpes maritimes, un travail monumental, qui relate les événements de la région depuis l'Antiquité jusqu'à la moitié du XVIIe siècle, œuvre à laquelle il consacrera toute sa vie, amassant, commentant, critiquant une quantité d'archives dont beaucoup sont malheureusement aujourd’hui perdues. L’ouvrage est d'importance, sept volumes, quatre mille cent soixante page !
La Chorographie fixe et décrit géographiquement le triangle Fréjus Savone Briançon, cadre dans lequel se déroule l’Histoire.
Couverts d'honneurs, Gioffredo revient à Nice en 1685 où il reçoit la charge de l'Abbaye de Saint-Pons.
L’Histoire rattrapera l’abbé en 1691. Lorsque Nice sera assiégée par les Français du maréchal de Catinat, l'assemblée des chefs de familles réunit à Sainte-Réparate, lui demandera d'aller négocier, accompagné de Mgr Provana, la reddition de Nice aux troupes du roi de France Louis XIV pour éviter le bombardement de la ville.
Ce fut le dernier service que Pierre Gioffredo rendit à sa patrie niçoise.
« Gioffredo, la Chorographie »
Ce sera le thème de la conférence que donne ce soir :
Hervé Barelli, conseiller pour le patrimoine niçois et conservateur de la bibliothèque de Cessole.
mercredi 9 novembre 2005
18 heures dans l’auditorium du Mamac
Entrée libre.
08 novembre 2005
Terroir et traditions du Haut-Pays sur la Côte d’Azur !
Cagnes près de Nice : Fête de la Châtaigne
Rendez-vous incontournable de la campagne et de la montagne descendues sur le littoral, nous faire partager leurs traditions, leur art de vivre, leur bonne humeur… et leurs châtaignes !
En différents points du centre ville de Cagnes-sur-Mer, une dégustation permanente de marrons et de vin chaud sera offerte au public pour fêter l’événement.
La journée débutera par un défilé d’animaux domestiques dans le centre ville de 10h30 à 11h30. Au fur et à mesure de l’arrivée des animaux sur la Place De Gaulle, une véritable « Ferme du Haut-Pays » se formera.
Les producteurs de la Vallée de la Tinée et les exposants de la région proposeront aux gourmands et aux gourmets leurs délicieux produits du terroir. Plus de 40 stands variés afficheront qualité, traditions et authenticité.
Ne manquez sous aucun prétexte le point fort de cette journée : le déjeuner campagnard pour lequel plus de 500 personnes se réunissent sous le chapiteau afin de déguster la polenta et la daube soigneusement préparées par les polentiers d’Isola.
Les grands chefs participent à la fête avec Jacques MAXIMIN qui proposera ses “Coussins de Cagnes” (tourte à la châtaigne) et Christian CAMPRINI préparera une “Douceur d’Automne” pour l’occasion.
Rendez-vous incontournable de la campagne et de la montagne descendues sur le littoral, nous faire partager leurs traditions, leur art de vivre, leur bonne humeur… et leurs châtaignes !
En différents points du centre ville de Cagnes-sur-Mer, une dégustation permanente de marrons et de vin chaud sera offerte au public pour fêter l’événement.
La journée débutera par un défilé d’animaux domestiques dans le centre ville de 10h30 à 11h30. Au fur et à mesure de l’arrivée des animaux sur la Place De Gaulle, une véritable « Ferme du Haut-Pays » se formera.
Les producteurs de la Vallée de la Tinée et les exposants de la région proposeront aux gourmands et aux gourmets leurs délicieux produits du terroir. Plus de 40 stands variés afficheront qualité, traditions et authenticité.
Ne manquez sous aucun prétexte le point fort de cette journée : le déjeuner campagnard pour lequel plus de 500 personnes se réunissent sous le chapiteau afin de déguster la polenta et la daube soigneusement préparées par les polentiers d’Isola.
Les grands chefs participent à la fête avec Jacques MAXIMIN qui proposera ses “Coussins de Cagnes” (tourte à la châtaigne) et Christian CAMPRINI préparera une “Douceur d’Automne” pour l’occasion.
Nice : la mémoire du XVe Corps, en marge du 11 Novembre
Nice : la mémoire du XVe Corps, en marge du 11 Novembre
Chaque année, à l'approche du 11 novembre, la France tout entière remplit son devoir de mémoire à l'égard de tous ceux qui ont perdu la vie dans cette épouvantable boucherie que fut la Première Guerre Mondiale. Les sept ou huit poilus encore vivants seront honorés comme il se doit et dans toutes les communes de France, une gerbe, une lecture de la trop longue liste des victimes et une sonnerie "Aux Morts !" occuperont quelques minutes d'une journée commémorée depuis quatre-vingt six ans !
Nice, Antibes, Toulon, Marseille, Aix et toutes les villes de Provence ont payé elles aussi un énorme tribut, encore alourdi, dès les premiers jours de la guerre, par l'affaire du 15e Corps... Pour sauver la réputation d'un ministre et d'un général, on n'hésita pas à jeter l'opprobre sur les soldats venus du Midi de la France et incorporés en Lorraine dans le XVe Corps d'Armée. L'accusation infamante de lâcheté devant l'ennemi s'étendit à tous les Méridionaux, combattants ou non, jusqu'à ce que la supercherie éclate et que les fantassins et les chasseurs alpins du Quinzième Corps retrouvent leur honneur... en 1920. 3851 soldats et officiers ont succombé les 19 et 20 août 1914.
Chaque année, à l'approche du 11 novembre, la France tout entière remplit son devoir de mémoire à l'égard de tous ceux qui ont perdu la vie dans cette épouvantable boucherie que fut la Première Guerre Mondiale. Les sept ou huit poilus encore vivants seront honorés comme il se doit et dans toutes les communes de France, une gerbe, une lecture de la trop longue liste des victimes et une sonnerie "Aux Morts !" occuperont quelques minutes d'une journée commémorée depuis quatre-vingt six ans !
Nice, Antibes, Toulon, Marseille, Aix et toutes les villes de Provence ont payé elles aussi un énorme tribut, encore alourdi, dès les premiers jours de la guerre, par l'affaire du 15e Corps... Pour sauver la réputation d'un ministre et d'un général, on n'hésita pas à jeter l'opprobre sur les soldats venus du Midi de la France et incorporés en Lorraine dans le XVe Corps d'Armée. L'accusation infamante de lâcheté devant l'ennemi s'étendit à tous les Méridionaux, combattants ou non, jusqu'à ce que la supercherie éclate et que les fantassins et les chasseurs alpins du Quinzième Corps retrouvent leur honneur... en 1920. 3851 soldats et officiers ont succombé les 19 et 20 août 1914.
Le Cannet près de Nice Yuri BUENAVENTURA
Le Cannet près de Nice Yuri BUENAVENTURA
Soirée « caliente » pour accueillir la star de la salsa sur la Côte d’Azur, au Cannet près de Nice, Yuri Buenaventura, en pleine tournée pour la promotion de son album « Salsa dura ». Le SALSA DURA TOUR 2005 transformera le temps d’un concert la Salle Palestre en club latino, avec piste de danse et tables rondes.
Originaire de Colombie, Yuri Buenaventura, du nom de son île natale, a été découvert en France par son époustouflante interprétation de « Ne me quitte pas » de Jacques Brel, transfiguré en un hymne à l’amour toride. Trois albums, plus de 300 000 disques vendus, premier chanteur de salsa à obtenir un disque d'or en France, son quatrième album intitulé « Salsa dura » ne déroge pas à la règle, rythmes incandescents, sons latinos, quelques notes de jazz, de la musique cubaine, la salsa du petit prince Yuri nourrit les dance-floors. Un orchestre impressionnant, une déferlante de cuivres et des rythmes afro-colombiens, embrasent le public. Son énergie, sa vitalité et la joie affichée par Yuri Buenaventura, les spectateurs ne peuvent rester immobiles sous cet ouragan d’airs chauds et entraînants.
La Palestre sera un cabaret latino le temps d’une soirée !
Avis aux « salseros » : N’oubliez pas de répéter vos pas de danses, le maître aura un oeil sur vous !
C’est jeudi soir, après il faudra aller en Colombie où le groupe part en tournée.
JEUDI 10 NOVEMBRE 2005 – 20H30
La Palestre
730, Av. Georges-Pompidou
06110 Le Cannet France
Tél. 04 93 46 48 88
Fax 04 93 46 26 44
Autoroute A8 - Sortie n°42 :
Cannes, Le Cannet, Mougins
Serrer à droite - Direction La Bocca
Suivre l'Aubarède / La Palestre
Parking Gratuit
Soirée « caliente » pour accueillir la star de la salsa sur la Côte d’Azur, au Cannet près de Nice, Yuri Buenaventura, en pleine tournée pour la promotion de son album « Salsa dura ». Le SALSA DURA TOUR 2005 transformera le temps d’un concert la Salle Palestre en club latino, avec piste de danse et tables rondes.
Originaire de Colombie, Yuri Buenaventura, du nom de son île natale, a été découvert en France par son époustouflante interprétation de « Ne me quitte pas » de Jacques Brel, transfiguré en un hymne à l’amour toride. Trois albums, plus de 300 000 disques vendus, premier chanteur de salsa à obtenir un disque d'or en France, son quatrième album intitulé « Salsa dura » ne déroge pas à la règle, rythmes incandescents, sons latinos, quelques notes de jazz, de la musique cubaine, la salsa du petit prince Yuri nourrit les dance-floors. Un orchestre impressionnant, une déferlante de cuivres et des rythmes afro-colombiens, embrasent le public. Son énergie, sa vitalité et la joie affichée par Yuri Buenaventura, les spectateurs ne peuvent rester immobiles sous cet ouragan d’airs chauds et entraînants.
La Palestre sera un cabaret latino le temps d’une soirée !
Avis aux « salseros » : N’oubliez pas de répéter vos pas de danses, le maître aura un oeil sur vous !
C’est jeudi soir, après il faudra aller en Colombie où le groupe part en tournée.
JEUDI 10 NOVEMBRE 2005 – 20H30
La Palestre
730, Av. Georges-Pompidou
06110 Le Cannet France
Tél. 04 93 46 48 88
Fax 04 93 46 26 44
Autoroute A8 - Sortie n°42 :
Cannes, Le Cannet, Mougins
Serrer à droite - Direction La Bocca
Suivre l'Aubarède / La Palestre
Parking Gratuit
07 novembre 2005
Nice Rendezvous : la justice a tranché
Nice Rendezvous : la justice a tranché
Les internautes de Nice et de la région Provence-Alpes-Côte d'Azur se souviendront sans doute de l'annonce tonitruante faite sur le site nicerendezvous.com au début du mois de juin dernier. Annonce reprise par divers médias du net, selon laquelle de prétendus légitimes propriétaires du site (signant courageusement de leurs seules initiales JB et MB) récupéraient leurs soi-disant droits en accusant “un éditeur bien connu” de les avoir spoliés. Lui donnant "rendez-vous devant la justice" ils transféraient le site aux États-Unis afin d'éviter la procédure d'arbitrage en vigueur en France.
Le rendez-vous a effectivement été pris par Serre Éditeur qui assignait, le 30 juin, le dénommé BOURDELIN Jacques, pour détournement de nom de domaine, devant le Tribunal de Grande Instance de Grasse qui vient de rendre son verdict.
Par ordonnance en date à Grasse du 2 novembre 2005, le service des référés du Tribunal de Grande Instance de Grasse a déclaré fondée la requête de la Société Serre visant à reconnaître ses droits sur le site nicerendezvous.com et a condamné BOURDELIN Jacques à restituer sous huitaine le dit site, l'intégralité du courrier électronique reçu à l'adresse de ce site ainsi que l'ensemble des recettes y afférant, à la société Serre, son propriétaire légitime, sous astreinte de 500 euro par jour de retard sur la restitution des codes d'accès au site et 500 euro par jour de retard sur la restitution des éléments annexes. BOURDELIN Jacques a en outre été condamné à verser 500 euro au titre de l'article 700 du NCPC et aux entiers dépens.
Les internautes de Nice et de la région Provence-Alpes-Côte d'Azur se souviendront sans doute de l'annonce tonitruante faite sur le site nicerendezvous.com au début du mois de juin dernier. Annonce reprise par divers médias du net, selon laquelle de prétendus légitimes propriétaires du site (signant courageusement de leurs seules initiales JB et MB) récupéraient leurs soi-disant droits en accusant “un éditeur bien connu” de les avoir spoliés. Lui donnant "rendez-vous devant la justice" ils transféraient le site aux États-Unis afin d'éviter la procédure d'arbitrage en vigueur en France.
Le rendez-vous a effectivement été pris par Serre Éditeur qui assignait, le 30 juin, le dénommé BOURDELIN Jacques, pour détournement de nom de domaine, devant le Tribunal de Grande Instance de Grasse qui vient de rendre son verdict.
Par ordonnance en date à Grasse du 2 novembre 2005, le service des référés du Tribunal de Grande Instance de Grasse a déclaré fondée la requête de la Société Serre visant à reconnaître ses droits sur le site nicerendezvous.com et a condamné BOURDELIN Jacques à restituer sous huitaine le dit site, l'intégralité du courrier électronique reçu à l'adresse de ce site ainsi que l'ensemble des recettes y afférant, à la société Serre, son propriétaire légitime, sous astreinte de 500 euro par jour de retard sur la restitution des codes d'accès au site et 500 euro par jour de retard sur la restitution des éléments annexes. BOURDELIN Jacques a en outre été condamné à verser 500 euro au titre de l'article 700 du NCPC et aux entiers dépens.
Après Nice Matin, le Figaro, le Monde change.
Après Nice Matin, le Figaro, le Monde change
Après Nice Matin, le Figaro, c'est au tour du Monde de lancer sa nouvelle formule. La nouvelle maquette a été réalisée par le studio écossais Palmer & Watson. Le quotidien s’éloigne délibérément de l'édition de 1995 jugée maintenant trop morne. La rupture principale, avec la formule traditionnelle du journal de référence français, est l’irruption de l'image colorée, illustrations et photographies, dans des pages plus aérées avec une typographie plus lisible.
Le cahier unique devrait se diviser en trois parties : actualité, décryptages et rendez-vous. « Décryptages », la nouveauté, rassemblera portraits, enquêtes, grands reportages et débats pour approfondir l'actualité. La dernière partie sera consacrée à la vie des lecteurs, tendances, culture, télévision, carnet, météo, jeux etc.
Après Nice Matin, le Figaro, c'est au tour du Monde de lancer sa nouvelle formule. La nouvelle maquette a été réalisée par le studio écossais Palmer & Watson. Le quotidien s’éloigne délibérément de l'édition de 1995 jugée maintenant trop morne. La rupture principale, avec la formule traditionnelle du journal de référence français, est l’irruption de l'image colorée, illustrations et photographies, dans des pages plus aérées avec une typographie plus lisible.
Le cahier unique devrait se diviser en trois parties : actualité, décryptages et rendez-vous. « Décryptages », la nouveauté, rassemblera portraits, enquêtes, grands reportages et débats pour approfondir l'actualité. La dernière partie sera consacrée à la vie des lecteurs, tendances, culture, télévision, carnet, météo, jeux etc.
Nice : 30e bourse-exposition du Cercle Numismatique de Nice
Nice : 30e bourse-exposition du Cercle Numismatique de Nice
La 30e édition de la bourse-exposition du Cercle Numismatique de Nice était placée cette année sous le thème évocateur de la numismatique des époques de guerre. Organisée, comme chaque année, dans le cadre prestigieux de l'Hôtel Plaza-Boscolo, non loin de la Promenade des Anglais, elle a été inaugurée le dimanche 6 novembre par Monsieur André Barthe, maire-adjoint de Nice délégué à la Culture en présence de nombreux visiteurs. A l'occasion de cet anniversaire, le représentant du maire de Nice remettait à Monsieur Gilbert Acchiardi, président du Cercle Numismatique de Nice depuis vingt ans, la médaille d'honneur de la Ville de Nice. Une trentaine d'exposants, venus de toute la France mais aussi de Monaco et d'Italie, ont animé cette manifestation, présentant des monnaies de qualité allant de l'Antiquité à l'époque moderne. On pouvait ainsi admirer sur les présentoirs de très beaux bronzes romains, de splendides monnaies d'or médiévales et modernes, de remarquables pièces d'argent de la Renaissance et de rares billets de banque.
La 30e édition de la bourse-exposition du Cercle Numismatique de Nice était placée cette année sous le thème évocateur de la numismatique des époques de guerre. Organisée, comme chaque année, dans le cadre prestigieux de l'Hôtel Plaza-Boscolo, non loin de la Promenade des Anglais, elle a été inaugurée le dimanche 6 novembre par Monsieur André Barthe, maire-adjoint de Nice délégué à la Culture en présence de nombreux visiteurs. A l'occasion de cet anniversaire, le représentant du maire de Nice remettait à Monsieur Gilbert Acchiardi, président du Cercle Numismatique de Nice depuis vingt ans, la médaille d'honneur de la Ville de Nice. Une trentaine d'exposants, venus de toute la France mais aussi de Monaco et d'Italie, ont animé cette manifestation, présentant des monnaies de qualité allant de l'Antiquité à l'époque moderne. On pouvait ainsi admirer sur les présentoirs de très beaux bronzes romains, de splendides monnaies d'or médiévales et modernes, de remarquables pièces d'argent de la Renaissance et de rares billets de banque.
Avenue des diables blues, André Ceccarelli
Nice, André Ceccarelli Trio
Né en 1946 à Nice, fils de batteur, André Ceccarelli commence l'exercice de la batterie à 13 ans, et à 16 ans embarque avec Jean-Claude et Gérard Roboly, Hervé Forneri (Dick Rivers) dans l’aventure des « Chats sauvages ». Presque cinquante ans plus tard, Monsieur Dédé Ceccarelli est devenu « the French drumming star », l’homme qui a joué avec Stan Getz, Dexter Gordon, Chick Corea, Tina Turner, Aretha Franklin, Ray Charles, Dee Dee Bridgewater, et The Brecker Brothers, le père de la nouvelle génération de batteurs en France. Une carte de visite impressionnante qui lui permet de réunir deux jazzmen au talent exceptionnel comme Joey De Francesco (de chez Miles Davis) et Biréli Lagrène. Batterie, guitare, orgue réunis dans des conditions « live » pour cet « Avenue des diables blues » (allusion transparente pour tout niçois), se font la fête en explorant de façon impeccable des standards comme, Nardis, Sophisticated Lady, Summertime.
André Ceccarelli Trio nous restitue l’essence même du jazz. Total respect.
CD Dreyfus Jazz/Sony
Né en 1946 à Nice, fils de batteur, André Ceccarelli commence l'exercice de la batterie à 13 ans, et à 16 ans embarque avec Jean-Claude et Gérard Roboly, Hervé Forneri (Dick Rivers) dans l’aventure des « Chats sauvages ». Presque cinquante ans plus tard, Monsieur Dédé Ceccarelli est devenu « the French drumming star », l’homme qui a joué avec Stan Getz, Dexter Gordon, Chick Corea, Tina Turner, Aretha Franklin, Ray Charles, Dee Dee Bridgewater, et The Brecker Brothers, le père de la nouvelle génération de batteurs en France. Une carte de visite impressionnante qui lui permet de réunir deux jazzmen au talent exceptionnel comme Joey De Francesco (de chez Miles Davis) et Biréli Lagrène. Batterie, guitare, orgue réunis dans des conditions « live » pour cet « Avenue des diables blues » (allusion transparente pour tout niçois), se font la fête en explorant de façon impeccable des standards comme, Nardis, Sophisticated Lady, Summertime.
André Ceccarelli Trio nous restitue l’essence même du jazz. Total respect.
CD Dreyfus Jazz/Sony
Inscription à :
Articles (Atom)