GARE NICE TER SNCF - On a appris ce soir vendredi 5 mars, qu’un TER venant à vide (pas tout à fait) de Saint-Raphaël, était arrivé dans la capitale azuréenne avec 27 vitres brisées de l’intérieur !
Évidemment le Préfet Lamy fustige «ces nouvelles dégradations inqualifiables» et Christian Estrosi, Maire de Nice ne peut que, lui aussi, « condamner fermement les nouvelles dégradations commises sur le Train Express Régional en provenance de Saint-Raphaël» et s’il «fait toute confiance en la police pour identifier les coupables de ces nouveaux actes inqualifiables ( il ) souhaite pour le bon fonctionnement de la chaîne pénale, que la justice puisse prendre rapidement des sanctions exemplaires. »
La police justement qui a réussi à retrouver et arrêter l'un des auteurs des 500.000 euros de dégâts occasionnés, au cours de la nuit du 23 au 24 janvier dernier, dans des voitures TER, Corail et TGV de la SNCF stationnées sur l’emprise de la gare de Nice.
Le jeune homme, âgé d'une vingtaine d'années, soupçonné d'avoir saccagé les sept trains, une douzaine d’automobiles et la supérette Schlecker de la rue Trachel - ce sont les caméras de celle-ci qui ont permis de l’identifier - a été présenté à la justice. Selon le procureur de la république il a reconnu les faits et bien qu'inculpé a été laissé libre sous contrôle judiciaire. Originaire de la région parisienne il aurait, escorté de deux autres individus dont une jeune femme, agi sous l’emprise d’un excès de boisson.
Une équipée sauvage sans rimes et sans raisons.